[1/3] D'une LinkedIn search au CRM ➡️

Enrichissement, personnalisation de contenu, cleaning de la data...

Automatiser sa lead gen facilement !

Cette thématique va se dérouler en 3 éditions et couvrira les points suivants :

1. Scraper en no-code une recherche LinkedIn

2. Enrichir la donnée, c’est-à-dire trouver un e-mail, numéro de tel, nom du chien, etc.

3. Créer un contenu personnalisé automatiquement pour chaque lead scrapé

4. Envoyer le tout dans un CRM

Il y a bien sûr plusieurs façons de faire, mais celle que je vous propose aujourd’hui est compatible avec n’importe quel CRM et simple.
On va tout gérer dans un Google sheet. Un outil que tout le monde connaît et peut utiliser.

Liste des outils nécessaires :

• Make (version gratuite possible)

• Phantombuster (version freemium)

• Dropcontact (100 crédits offerts)

• G-sheet

• BannerBear (10 essais gratuits)

1. Scraper une recherche LinkedIn :

• Pas besoin de LinkedIn sales nav pour cette opération. Un simple copié/collé de l’URL d’une recherche LinkedIn :

  • On obtient donc ici : https://www.linkedin.com/search/results/all/?keywords=marketer&origin=GLOBAL_SEARCH_HEADER&sid=xqG

• Vous utilisez ensuite ce module Phantombuster.
  Comme on ne scrape que les noms et prénoms, ça va super vite comme recherche, et pas besoin de payer un plan.

Une fois que c’est set up (c’est très simple et vous trouverez moult tutos vidéo sur le Net si besoin), on va passer sur Make.

• On va choisir un scénario qui existe déjà en mode template sur Make comme ça, tout ce que vous avez à faire c’est connecter votre compte Phantombuster. Tout est déjà fait pour vous. C’est cadeau.

  

• En Phantom ID, vous pourrez sélectionner le nom du module choisit plus haut après avoir connecté votre compte dans la champ “Connection”. Vous pouvez appuyer sur OK.

• Ensuite sélectionnez le second module Phantombuster dans le workflow. Dans “container ID”, vous devez (comme son nom l’indique), sélectionner le container ID dans la liste de droite.
  → C’est le container qui regroupe tous les résultats du scrap sous format JSON.

• La next step, c’est de créer un G-Sheet pour accueillir la donnée avec les colonnes suivantes :

  • First_name, Last_name, URL_profile_perso, Location, Linkedin_URL, URL_dashboard, company_URL, email.

Vous êtes libre d’ajouter des champs qui sont plus cohérents pour votre business.

• Vous devez ensuite connecter sur MAKE sur le module G-sheet, à votre Google sheet.

C’est assez intuitif, mais grossièrement, vous sélectionnez le dossier dans lequel figure votre Google Sheet, ensuite dans “sheet name” vous indiquez la feuille du Google sheet où vous souhaitez envoyer les informations. Et c’est tout.

• On vous demande si la table contient des headers, vous devez répondre oui, car on a nommé les colonnes. (First_name, Last_name, URL_profile_perso, etc.)

• La seconde moitié de cette fenêtre se remplie de la façon suivante :

  • Vous allez retrouver le nom des colonnes précédemment écrites.

    Vous n’avez qu’à cliquer sur les champs qui sont vides et vous verrez apparaître plusieurs points de data.
    Si jamais la data n’apparaît pas, essayez de lancer votre scénario une fois, en cliquant sur le bouton violet “Play” en bas de l’écran.

• Vous devez mapper la data qui est en violet (elle sort du module “Parse JSON”) dans votre Google sheet en sélectionnant simplement comme dans le screenshot ci-dessous les éléments.

⚠️ Vous n’aurez pas encore la possibilité de remplir tous les champs, puisqu’on n’a pas encore enrichi notre scrapping.

• Une fois que c’est good, on clique sur OK et on sauvegarde le scénario.

• Lorsque vous exécutez le scénario vous devriez avoir ça comme résultats avec ce module :

La next step ?

• Trouver l’e-mail, et créer un beau contenu personnalisé pour votre lead dans la prochaine édition.

• Si vous rencontrez le moindre souci, on peut discuter en commentaire ou en MP sur LinkedIn !

Un ou 2 trucs chouettes

• Pierre Herubel, cofondateur de Reddot a réalisé ce super tableau qui compare le rôle d’un growth marketer en fonction du stage d’une start-up.

  • Il y a aussi quelques échanges super intéressant sous le post en question sur LinkedIn.